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Jacques Bonoul - Benin - ROPPA Federazione dell'unione dei produttori del Benin

Ci spiega il percorso effettuato per arrivare alla stesura del documento da presentare alla FAO e quali sono le proposte emerse dagli incontri regionali africani e asiatici.

Jacques Bonoul – Benin – ROPPA Federacion de la union de los productores de Benin. Nos explica el camino recorrido para llegar a redaccion del documento para presentar en la FAO y cuales son las propuestas salidas de los encuentros regionales africanos y asiaticos

Jacques Bonoul – Benin – ROPPA Federation de l’union des producteurs du Benin. Il nous explique le parcours qui a mené à la redaction du document à presenter au sommet de la FAO et quels sont les propositions qui sont sorties des rendez-vous regionaux africains et asiatiques.

Jacques Bonoul – Benin – ROPPA Federation of Benin producers union. He explain the way has been prepared the document to forward to the FAO summit and which are the main topics expressed by de african and asian regional meetings.

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Vandana Sheeva - fondazione di ricerca per la tecnologia e l'ecologia scientifica

Ci racconta di cosa si occupa la fondazione e parla del movimento che si batte per la biodiversità e a sostegno delle colture locali.

Vandana Sheeva; fundacion para la investigacion, la tecnologia y la ecologia cientifica. Nos relata de lo que se ocupa la fundacion y habla del movimiento que lucha para la biodiversidad y a favor de los cultivos locales.

Vandana Sheeva; fondation pour la recherche, la technologie et l'ecologie scientifique Elle nous raconte de quoi la fondation s'occupe et nous parle du mouvement qui lutte pour la biodiversité et à soutien des cultures locales.

Vandana Sheeva; researche, technology et scientific ecology foundation She relates us about her foundation and about the movement that fights for biodiversity and for local cultivations.

020610vandana.mp3

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Doris Gutierrez - Via Campesina

Ci spiega il significato dell'azione spettacolare di oggi. La manifestazione infatti è dedicata ai temi dell'emergenza agricola che coinvolge il nord e il sud del mondo e l'urgenza di una riforma agraria che rispetti i diritti dei popoli e la vita.

Nos explica el significado de la accion espectacular de hoy. La manifestacion està dedicada a los temas de la emergencia agricula
que acontece el Norte y el Sur del mundo y la urgencia de una reforma agraria que respete a los derechos de los pueblos y a la vida.

Il nous explique la signification de l’action spectaculiere d’aujourd’hui. La manifestation est dedié au themes de l’emergence agricole qui entraine le Nord et le Sud du monde et l’urgence d’une reforme agricole dans le respet du droits des peuples et de la vie.

He explain us the meaning of today’s spectacular action. The demo was about the themes of agricultural emergency that involves North and South of the world and about the need of an agricultural reform caring about peoples’ rights and life.

020610gutierrez.mp3
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ASSEMBLEA PER LA SOVRANITA’ ALIMENTARE ASSEMBLEA PER LA SOVRANITA' ALIMENTARE
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JOSE’ BOVE’ JOSE' BOVE'
Line 98: Line 136:
Non discutiamo oggi sui vantaggi della agroecologia, che gia conosciamo, ma di come si possono generalizzare i risultati ottenuti. La domanda non è perché, ma come. parleremo dell’esperienza di tutti voi, delle vostre difficoltà, e ci occuperemo di OGM e di problemi finanziari.
Per fronteggiare il problema della lentezza di diffusione della agroecologia ogni regione deve sviluppare strategie differenti. Ad esempio il messico, con il sistema” da contadino a contadin”o, la “ Farmes School” , “contadini associati” del Senegal. In Brasile stiamo lavorando con migliaia di contadini e con pochi tecnici, i quali appoggiano le contadine e si occupano della loro formazione. Affinché si generalizzi questa esperienza le organizazzioni contadine devono diventare la forza protagonista di questo processo., però si nesessita di un grande appoggio da parte delle grandi organizzazioni pubbliche. Necessitiamo di una regolamentazione che abbia lo scopo di finanziare questi progetti.
Non discutiamo oggi sui vantaggi della agroecologia, che gia conosciamo, ma di come si possono generalizzare i risultati ottenuti. La domanda non è perché, ma come. parleremo dell’esperienza di tutti voi, delle vostre difficoltà, e ci occuperemo di OGM e di problemi finanziari.
Per fronteggiare il problema della lentezza di diffusione della agroecologia ogni regione deve sviluppare strategie differenti. Ad esempio il messico, con il sistema” da contadino a contadin”o, la “ Farmes School” , “contadini associati” del Senegal. In Brasile stiamo lavorando con migliaia di contadini e con pochi tecnici, i quali appoggiano le contadine e si occupano della loro formazione. Affinché si generalizzi questa esperienza le organizazzioni contadine devono diventare la forza protagonista di questo processo., però si nesessita di un grande appoggio da parte delle grandi organizzazioni pubbliche. Necessitiamo di una regolamentazione che abbia lo scopo di finanziare questi progetti.
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CONFERENCE SUR LA SOUVERAINETE ALIMENTAIRE

Paul Nicholson (Via Campesina)

Merci, bonjour à tous. Le modèle neo-liberal DE GLOBALISATION EST EN TRAIN
DE DETRUIRE NOTRE manière de vivre. La souveraineté alimentaire c’est
un droit, il s’agit de donner la priorité au marché domestique qui est
plus juste, un conteste où il n’y a pas de dumping. La Souveraineté
Alimentaire est un droit de citoyens qui peuvent savoir qu’est ce qui
vont manger. Il s’agit de donner pouvoir aux organisations paysannes.
Les organisations paysannes doivent avoir plus de pouvoir.

Davidner Sharma (India- Asia)
Regardons l’Inde et l’Amérique : les deux géants démocratiques.
On remarque qu’il y à une importation double par rapport aux
nécessitées d’une famille.
Cette production bon marché détruit le s petits agriculteurs qui sont
obligés à migrer dans les villes.
Par exemple on importe le lait par ce que c’est plus convient que de
le produire ici.
En Inde on signale un surplus de production alimentaire mais on nous dit de
importer des aliments.
On as beaucoup de difficultés à démonter ce système : quand on importe des
aliments c’est comme si on importais des manifestations de
contestation. Mais ce qui est encore plus dangereux c’est que on est
en pleine crise avec l’importation des OGM.

Ndiougou Fall (ROPPA)
Je parlerais de l’accès au marché. Les dangers sont divers et
différentes dans chaque région.
On nous dis de libéraliser plus le marché ? C’est difficile de
accepter cette solution vu que c’est le marché que crées les
problèmes. Deux pôles : un monde qui peut satisfaire ses propres
nécessitées, et un autre qui n’as pas de produits et qui doit
satisfaire la demande interne.
Nouvelles technologies OGM ce sont les solutions proposées aux pays du Sud.
Mais il y a une barrière, celle du control du marché du Sud de la parte des
pays du Sud. Dans le OMC on a reconnu les revendications des agriculteurs
européens. Les pays du Sud doivent aussi développer des politiques
commerciales nationales.
Pensée Unique, Marché Unique : mais les pays du Sud qu’est ce
qu’ils ganent avec tout ça ?



Rafael Alegria (Via Campesina)

Pour qui c’est le marché ?
Renoncer à la notre identité, à nos droits. Nous n’avons pas la
protection sur nos produits. Protectionnisme seulement pour les grandes
puissances et pour les agriculteurs qui utilisent les
Pesticides chimiques. OGM c’est injuste ! Les OGM ont rendu les choses
encore plus difficiles.
Au Panamà les paysans n’ont pas un futur par ce que le gouvernement
importe la totalité des produits agricoles. Le gouvernement n’écoute
pas les paysans. Il faut soutenir la lutte paysanne pour les consommations
de chaque famille, de chaque région, programme de partage de la terre et une
formation pour que les producteurs créent une alliance avec les autres
secteurs de production.

Nettie Wiebbe (Canada- Via Canpesina)
La souveraineté alimentaire. Je crois que c’est un problème que on ne
peut pas considérer comme
Nord- Sud. Au Canada on crois d’être les grands gagnant de ce système
et on a suivi toutes les règles conseillées par les experts. Ces derniers nous disent que le Canada a obtenu beaucoup de résultat, aujourd’hui on exporte trois fois plus de aliments que il y a dix ans.
Mais on a perdu 10,5 % de la population d’agriculteurs et rurales. Ils ne peuvent pas vivre une vie digne : les petits agriculteurs ne peuvent pas survivre.
Est ce que vous pensé que on peut appeler ça un résultat ?
Et qui est ce que prend bénéfice de tout ça ? Le grandes entreprises.
La stratégie c’est : production intensive à pris cassées pour l’exportation, et totale desinteret pour la destination de cette même production.
Au Canada on donne du mais ou cochons par ce que on ne peut pas le vendre.
Même dans le nord on a du « dumping » mais d’un autre type par apport au sud.
On est en compétition avec le monde entier. Aux Etats Unis et au Canada il n’y a pas d’information sur les marques des produits des aliments génétiquement modifiées.
Donc les consommateurs n’ont pas la possibilité de décider

José Bové (Confédération Paysanne Européenne)

Confirme ce que Mr Diouf (DR. FAO) avais dis pendant la conférence de hier : l’impuissance de la FAO et la présence de seulement deux représentants des pays riches démontrent le pouvoir limité de l’ONU. Le vrai futur est dans le organisations multilatérales. On vis dans un monde qui n’est pas organisé selon des règles démocratiques. La FAO se moque du monde paysan et de la pauvreté.



Il donne quelque idées sur les stratégies futures : comdannation du neoliberisme et la lutte pour la reconnaissance de la souveraineté alimentaire qui est un droit fondamentale de l’homme.
Il appelle les ONG et la societé civile internationale pour demander à l ‘OMC à l’occasion du meeting de Cancun en septembre 2003, de sortir de sa politique les enjeux de l’agriculture.
Il dénonce les accords du libre échange (ALCA , NAFTA) comme les plus dangereux et fondamentales du OMC. Il faut que les associations et la société civile se mobilisent au niveau régional et locale. Il faut aussi perpétrer une bataille contre les OGM et les multinationales qui financent la recherche en contrôlant les industries chimiques que, à la fois ont un control exclusif des ressources naturelles.
Rendez vous a Cancun en septembre 2003.


Michael Windfuhr (FIAN)

Dans le document du 1996 on parlais de moyens. Moyens tel que les organisations qui s’opposent au gouvernements qui favorisent les OGM. Il faut renforcer cette lutte avec le soutien des droits humains. Les récents changement ont eut un impacte féroce sur les agriculteurs du sud.
Réglementation des OGM, responsabilisation du OMC et du FMI. Les multinationales et l’ONU doivent suivre une conduite proposée par les ONG.
 





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Meeting for the Food Sovereignty

PAUL NICHOLSON

The neoliberistic model of globalization is destroing our way of life.
The food sovereignty is a right, that means to give priority to the
local market which is the most fair, and this in a context where the citizens
don't have the right to know what they are eating. It is important
to give power to the local farmer associations and limit the production
and the diffusion of GMO.

DAVINDER SHARMA

Let's have a look at India and America, the two democratic giants.
Their Import is twice of what a family consumes. The logic of low costs
ruins the farmers who are moving to the cities. We are importing milk from Denmark
because it is more economic than the milk which we produce. In India we have
surplus of food but we tell the world that we have to import more food.
We have difficolties to destroy this system. At the moment we import
food but we also import demostrations. This causes more hunger, we find ourselves
in a crises with the GMO diffusion.

NDIOUGOU FALL

I want to talk about market's access: the danger is complex and it is different from region to region.They tell us that they will liberalize the market but it is the market itself that create problems. Two poles: one that can satisfy it's demands, the other one in which lack the products to satisfy the internal demands. New technologies and MGO are the solutions for the southern countries. Obstacles: no barriers, no sanity precautions. The problem's solution is the conquest of the South for the southern countries.The WTO accepts the european farmers' claims. In the same way The southern countries have to develop national policies. A global thought and a global use does not help at all the countries of the South.

 
RAFAEL ALAGRIA

Who's market is it? To renounce our identity means to renounce our rights. We loose the protection of our production. The protectionism works only for the big organizations and for the farmers who use chemical fertilizer and GMO. All this is not fair. Expecially the GMO have aggravate the situation. In Panama the farmers are starving.
Sarogeni Rengam:
The problem of the malnutrion: this is the basic problem of the farmer's
and fishermen's comunities. These comunities have the right to produce
their own food. First of all we have to recognize this right, second,
we need policies which protect this right: agricultural reform, a sustainble
agriculture. Economic help does not mean nationalist protectionism.
The governments on their hand repress these local fights. Expecially the
women's fight that represent most of the fights in the third world.
We need to give power and rights to the women so that they can use the
seedings. Regarding to the industrial control over agriculture, at the moment
we don't have any instruments to fight against who opresses the right
of food sovereignty. We need to hinder the WTO and it's filosophy,
expecially the trade. To hinder the neoliberistic agenda, the world
government. Above all it would be a strategy in our favor.
AGRICULTURAL MODELS OF PRODUCTION

Jean-Marc von der Weid:
Today we don't discuss about the benefits of agro-ecology, which we
already know, but how we can generalize the resuts that we have already achieved.
The question is not why but how we will discuss your experiences, your difficulties
and we will discuss about the GMO and financial problems.
To face the problem of the slow diffusion of agro-ecology, every region has to
develop different strategies. For example, Mexico, it's
"farmer to farmer" sistem, the "Fames School", "joined farmers" of Senegal.
In Brazil we work together with thousands of farmers but there are only a few
experts, who support the female farmers and worry about their education.
In order to generalize this experience, the female farmer organizations
have to become the motor of this process, but we need the help of the big public organizations
We need policies to finance these projects.
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Riguardo al documento iniziale della FAO, finito di preparare ieri, sono due gli elementi principali: il primo è rappresentato dal riferimento molto blando sul diritto al cibo per tutti. Così continua ad avere piu’credito e peso la versione sui poveracci da salvare piu’ che sul diritto inalienabile di uomini e donne a nutrirsi, che invece è uno dei punti fondamentali del Forum per la Sovranità alimentare tenutosi anche oggi in parallelo. Comunque il riferimento minimo sul diritto ad alimentarsi sarebbe stato ottenuto attraverso la mediazione di Europa e con il contrasto di paesi come gli Stati Uniti che non sarebbero disposti a far passare nemmeno questo. Il secondo elemento principale della dichiarazione FAO riguarda lapertura, seppure limitata, alle biotecnologie. Quindi si parte gia’ molto lontani e su altri binari riguardo alle dichiarazioni e proposte ascoltate allinterno del Forum per la Sovranita’alimentare dove è stata invece forte la condanna di biotecnologie ed Organismi Geneticamente Modificati. Eppure ieri c’erano stati al Forum tanti applausi per il segretario generale della FAO Jacques Diouf, che oggi ha aperto i lavori del Vertice dopo gli interventi di esponenti governativi italiani. Discorso lungo e retorico innazitutto da parte di Berlusconi, mentre il sindaco di Roma Veltroni ha tenuto una sviolinata sulle ottime intenzioni dei sindaci italiani e del resto del mondo contro le disuguaglianze. Il solito discorso di buoniste intenzioni. Per parte sua Jacques Diouf, ha criticato lassenteismo da parte dei paesi più industrializzati, mentre ha invece lodato il contributo delle organizzazioni non governative. Realtà queste ultime che certo non incidono molto a livello di politiche di alimentazione nel mondo adottate dai governi. Quindi cè da sottolineare l`assenza di diversi capi di Stato occidentali, a quanto pare disinteressati alle tematiche discusse e che probabilmente sanno già come continuare ad affamare il mondo senza i consigli inutili della FAO. I Paesi piu' industrializzati presenti, rappresentati a livello governativo, sono solo 2 su 29. Inoltre Diouf ha sostenuto che le promesse fatte finora su alimentazione non sono state mantenute e che gli atti contraddicono le parole dei governi. Riguardo al programma del Vertice alcuni cenni. A partire da martedi' 11 fino a giovedi' 13, parallelamente ai lavori dell'assemblea plenaria, le varie delegazioni dei paesi presenti si suddivideranno in tre gruppi per dar vita ad una serie di tavole rotonde. Mercoledi' 12 un incontro da segnalare: dovrebbe tenersi un tavolo di dialogo tra rappresentanti dei governi e delle Organizzazioni non Governative, alcune della quali stanno partecipando al Forum per la Sovranita’Alimentare.
Per tutta la durata del summit sono previsti inoltre una quarantina di 'Side events', vale a dire eventi di cornice. Una parte di questi sono indirizzati alla presentazione delle attivita' primarie della Fao: un'altra e' focalizzata nell' organizzazione di riunioni di gruppi regionali, economici od agricoli che vengono al summit per incontrarsi con i rappresentanti dei loro stessi paesi e con quelli dei paesi donatori per stabilire le priorita' regionali.
Si è tenuta oggi la cerimonia di apertura del Vertice della Fao, sulla base di un documento finito di elaborare nella giornata di ieri.
Due sono gli elementi principali di questo documento: innanzitutto, c’è un riferimento molto blando riguardo alla questione del diritto al cibo per tutti.
Continua così ad essere accreditata la tesi del dovere dell’assistenza ai poveri, contro il diritto inalienabile di uomini e donne a nutrirsi, che è uno dei punti fondamentali del Forum per la Sovranità alimentare tenutosi anche oggi in parallelo.
Nonostante ciò, anche il piccolo riferimento sul diritto mimino ad alimentarsi contenuto nel documento sarebbe stato frutto di una mediazione dell’Europa, che ha dovuto superare gli ostacoli posti dagli stati uniti. Gli Usa infatti avrebbero preferito evitare anche questo minimo accenno.
 Il secondo elemento principale della dichiarazione FAO riguarda l’apertura, seppure limitata, alle biotecnologie. Posizione totalmente lontana dalle dichiarazioni e proposte ascoltate all’interno del Forum per la Sovranità alimentare, dove è stata invece forte la condanna di biotecnologie ed Organismi Geneticamente Modificati. Eppure ieri c’erano stati al Forum tanti applausi per il segretario generale della FAO Jacques Diouf, che oggi ha aperto i lavori del Vertice dopo gli interventi di esponenti governativi italiani.
Il vertice, infatti, è stato aperto dal discorso di Silvio Berlusconi, un discorso lungo e retorico, e vuoto di contenuti innovativi.
Valter Veltroni, sindaco di Roma, ha lodato l’impegno suo, dei sindaci italiani e dei sindaci del mondo sulle loro buone intenzioni.
Jacques Diouf, segretario della FAO, ha invece lodato il contributo delle organizzazioni non governative (realtà queste ultime che certo non incidono molto a livello di politiche di alimentazione nel mondo adottate dai governi), mentre ha criticato l’assenteismo da parte dei paesi più industrializzati, Infatti va sottolineata l`assenza di diversi capi di Stato occidentali, disinteressati alle tematiche discusse e che probabilmente sanno già come continuare ad affamare il mondo senza i consigli inutili della FAO. I Paesi piu' industrializzati presenti, rappresentati a livello governativo, sono solo 2 su 29. Diouf ha inoltre rimarcato come le promesse fatte finora su alimentazione non siano state mantenute e come gli atti contraddicano le parole dei governi.
In ultimo, alcuni cenni sul programma del Vertice.
A partire da martedi' 11 fino a giovedi' 13, parallelamente ai lavori dell'assemblea plenaria, le varie delegazioni dei paesi presenti si suddivideranno in tre gruppi per dar vita ad una serie di tavole rotonde. Mercoledi' 12 un incontro da segnalare: dovrebbe tenersi un tavolo di dialogo tra rappresentanti dei governi e delle Organizzazioni non Governative, alcune della quali stanno partecipando al Forum per la Sovranità Alimentare.
Per tutta la durata del summit sono previsti inoltre una quarantina di 'Side events', vale a dire eventi di cornice. Una parte di questi sono indirizzati alla presentazione delle attivita' primarie della Fao: un'altra e' focalizzata nell' organizzazione di riunioni di gruppi regionali, economici od agricoli che vengono al summit per incontrarsi con i rappresentanti dei loro stessi paesi e con quelli dei paesi donatori per stabilire le priorita' regionali.

Sommet Fao: ouverture
Aujourd’hui, a eu lieu la cérémonies d’ouverture du Sommet Fao, avec la présentation d’un document qui a été terminé d’être élaboré pendant la journée de hier.
Deux sont les éléments principaux de ce document: avant tout, on parle d’une faisons très faible de la question du droit à la nourriture pour tous.
Donc, on parle toujours d’un devoir à l’assistance pour le pauvres, contre le droit fondamentale des hommes et des femmes à sa propre nourriture, qui est un des point les plus fondamentales du Forum pour la Souveraineté alimentaire ( qui même aujourd’hui a eu lieu en parallèle).
Malgré tous, aussi cet petit cenne sur le droit minimum à l’alimentation, qui est écrit dans le document, est le résultat d’une médiation de l’Europe, pour gagner sur les obstacles mis en œuvre par les Etat Uni.
Le Usa, en effets, aurons préféré d’éviter aussi cet petit cenne.
Le deuxième élément principal du document de la Fao il concerne l’ouverture, partialement limitée, aux biotechnologies.
Cette position est très loin respect aux propositions qui nous avons écoutées pendant le Forum sur la souveraineté alimentaire, ou il y a eu une condamnation envers les biotechnologies et les OGM.
Cependant, Jacques Doiuf, qui aujourd’hui a ouverte le Sommet, a-t-il reçu beaucoup de consens hier au Forum…..
Dans son discours, il a remarqué la contribution des ONG (mais les ONG n’ont pas de pouvoir de décision au niveau des politiques gouvernemental) ; dans le même temps, il a condamné l’absence des la plus part des Etats industrialisé.
En effets, on doit souligner l’absence de plusieurs chef d’Etat de l’Occident, qui n’ont pas fait preuve de beaucoup d’intéresse aux thèmes en discussion.
Avec tous probabilité, ils savent déjà comme mettre le monde à la faim, sans l’intervention de la FAO !
Le pays plus industrialisé, dans ce Sommet, sont seulement 2 sur un total de 29.
Diouf, en plus, a remarqué comme le promis qui on été faites sur l’alimentation n’ont pas eu suivre, et comme les actes des gouvernes sont-ils différentes des leurs discours.

Enfin, quelques rendez-vous
A partir de mardi 11, et jusqu’à jeudi 13, en contemporaine aux travails du Sommet, les délègues des différents pays formeront trois groupes de travail.
Mercredi 12 : il y aura lieu un rendez-vous entre les délégués des gouvernes et les délègues des ONG, qui participent au Forum sur la Souveraineté Alimentaire.
Pendant tout le Sommet ils sont prévus des « Side events ».
De ces « side events », un group il aura la fonctionne de présenter les activités de la Fao, ; un autre, pour l’organisation des rendez-vous entre les groupes régionaux, économiques, agricoles, qui sont au Sommet pour se rencontrer avec les représentants des pays donnant l’argent pour établir les priorités régionaux.




Da Paula: inserisco un report breve sulla prima parte del Vertice FAO. Sarebbe da tradurre in altre lingue, parlatene tra voi per decidere, e poi da inserire sul sito con aggiornamenti e se volete nei report in lingua per le onde corte. Un beso.

Jacques Bonoul - Benin - ROPPA Federazione dell'unione dei produttori del Benin

Ci spiega il percorso effettuato per arrivare alla stesura del documento da presentare alla FAO e quali sono le proposte emerse dagli incontri regionali africani e asiatici.

Jacques Bonoul – Benin – ROPPA Federacion de la union de los productores de Benin. Nos explica el camino recorrido para llegar a redaccion del documento para presentar en la FAO y cuales son las propuestas salidas de los encuentros regionales africanos y asiaticos

Jacques Bonoul – Benin – ROPPA Federation de l’union des producteurs du Benin. Il nous explique le parcours qui a mené à la redaction du document à presenter au sommet de la FAO et quels sont les propositions qui sont sorties des rendez-vous regionaux africains et asiatiques.

Jacques Bonoul – Benin – ROPPA Federation of Benin producers union. He explain the way has been prepared the document to forward to the FAO summit and which are the main topics expressed by de african and asian regional meetings.

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Vandana Sheeva - fondazione di ricerca per la tecnologia e l'ecologia scientifica

Ci racconta di cosa si occupa la fondazione e parla del movimento che si batte per la biodiversità e a sostegno delle colture locali.

Vandana Sheeva; fundacion para la investigacion, la tecnologia y la ecologia cientifica. Nos relata de lo que se ocupa la fundacion y habla del movimiento que lucha para la biodiversidad y a favor de los cultivos locales.

Vandana Sheeva; fondation pour la recherche, la technologie et l'ecologie scientifique Elle nous raconte de quoi la fondation s'occupe et nous parle du mouvement qui lutte pour la biodiversité et à soutien des cultures locales.

Vandana Sheeva; researche, technology et scientific ecology foundation She relates us about her foundation and about the movement that fights for biodiversity and for local cultivations.

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Doris Gutierrez - Via Campesina

Ci spiega il significato dell'azione spettacolare di oggi. La manifestazione infatti è dedicata ai temi dell'emergenza agricola che coinvolge il nord e il sud del mondo e l'urgenza di una riforma agraria che rispetti i diritti dei popoli e la vita.

Nos explica el significado de la accion espectacular de hoy. La manifestacion està dedicada a los temas de la emergencia agricula que acontece el Norte y el Sur del mundo y la urgencia de una reforma agraria que respete a los derechos de los pueblos y a la vida.

Il nous explique la signification de l’action spectaculiere d’aujourd’hui. La manifestation est dedié au themes de l’emergence agricole qui entraine le Nord et le Sud du monde et l’urgence d’une reforme agricole dans le respet du droits des peuples et de la vie.

He explain us the meaning of today’s spectacular action. The demo was about the themes of agricultural emergency that involves North and South of the world and about the need of an agricultural reform caring about peoples’ rights and life.

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Victor Torres - Perù e Juan Pablo Munoz - Ecuador

Torres parla della peculiarità delle coltivazioni di patate e del fatto che vengono sostituite da quelle di grano che le stanno sostituendo grazie all'ALCA. I danni all'agricoltura locale e le variazioni delle abitudini alimentari tradizionali sono ingenti. A Juan Pablo abbiamo chiesto quali richieste vengono fatte alla FAO e qual'è secondo lui il ruolo dei movimenti sociali.

Torres tells about the peculiarity of coltivations of potatoes and above all about tra fact that these are substituted with corn by ALCA. This substitution damages local agricolture and traditional food habits. We asked Juan Pablo which are the request that usally are posed to Fao and which is his opinion about the role of social movements.

020610victortorres.mp3


(1)Sarojeni Rengan - Pesticide Action Network - Malesia

Innanzitutto ci racconta di cosa si occupa il network e quali sono i problemi causati dall'abuso dei pesticidi. Pan, sta inoltre cercando collegamenti a livello mondiale per quanto riguarda la lotta per i diritti.

(2) Sarojeni Rengan - Pesticide Action Network - Malesia Le abbiamo inoltre chiesto quale è stata la sua percezione delle presenze a questo forum.

020610sarojeni1.mp3 020610sarojeni2.mp3


ASAMBLEA PARA LA SOBERANIA ALIMENTAL

PAUL NICHOLSON. El modelo neoliberal de la globalizacion està destruyendo nuestra manera de vivir. La soberania alimental es un derecho y quiere decir darle una prioridad al mercado domestico que es el mas justo en un contesto donde los ciudadanos no tienen derecho a saber que van a comer. Se trata de darle poder a las organizaciones campesinas y de limitar a los OMG.

DAVINDER SHARMA. Miremos a India y America, los dos gigantes democraticos. Lo que se importa es lo doble que consume una familia. Esta produccion barata arruina a los agricultores que migran a las ciudades. Estamos importando leche de Dinamarca, porqué es mas barato importar leche que producila. En India hay un eccedente alimentario y el mundo nos dice que tenemos importar alimentos! Tenemos dificultades para desmantelar este sistema. Cuando importamos alimentos importamos paros. Lo que hace es generar mas hambruna, estamos en pleno de una crisis con la difusion de los OGM.

NDIOUGOU FALL. Voy a hablar del acceso al mercato. El peligro es vario y dipende de la region. Nos dicen de liberalizar mas los mercados? Es dificil para entender porqué es el mercato que crea los problemas. Dos polos: un mundo que puede satisfacer sus exigencias, otro mundo donde faltan productos y que quiere satisfaccer la demanda interna. Nuevas tecnologias, Omg, estas son las soluciones que se proponen a los paises del sur. Obstaculos: hay barreras, normas sanitarias, la soluccion de los problemas està en la reconquista de los mercados del sud por parte de los paises del sur. En la OMC aceptaron las revendicaciones de los agricultores europeos. Tambien los paises del sur tienen que desarrollar politicas nacionales. Pensamento unico, consumo unico, los paises del sur no tienenen nada que ganar de esto.

RAFAEL ALEGRIA. Para quien los mercados? Renunciar a nuestra identidad es renunciar a nuestros derechos. Perdimos la proteccion a nuestras producciones. Proteccionismo solo para las grandes potencias, para los agricultores que utilizan fertilizantes quimicos, OGM, es injusto! Las OMG sobretodo han empeorado la situacion. En Panamà los campesinos se mueren de hambre porqué el gobierno està importando el 100% de los productos agriculos. Y el gobierno no escucha a los campesinos. Hay que empezar una lucha de los campesinos. Hay que implementar la produccion agroecologica para el consumo de cada famiglia, de cada comunidad regional, programas de dotacion de tierra, de semillas naturales, la formacion a los productores y una alianza con otros sectores productivos.

NETTIE WIEBBE. Soberania alimentaria. Creo que esto no se puede considerar un tema norte-sur. En Canada pensabamos de ser los grandes ganadores de este sistema y hemos seguido todas las reglas que nos sugerian los expertos. Los expertos dicen que Canada tiene muchos exitos, este ano exportamos tres veces mas que hace diez anos. Pero hemos perdido el 10,5 % de nuestras familias de agricultores. Es esto un exito? Estamos perdiendo las comunidades rurales. No pueden vivir una vida digna, los pequenos agricultores no pueden subrevivir. Quien se beneficia? Las grandes empresas. Esto forma parte de su estrategia: produccion elevada a bajo precio para la exportacion sin preocuparse de donde va a parar esta produccion. En Canada se da mais a los cerdos porqué no se puede vender. En el Norte tambien hay dumping, pero de otra manera que en el Sur. Hoy competimos con el mundo entero. En Usa y Canada hay un conflicto muy grave sobre las etiquetas de los transgenicos, si no los consumidores no pueden tomar decisiones.

JOSE' BOVE'. Diouf nos presentò un discurso bonito pero la situacion sigue tragica y este discurso parecia desanimado, no hablò de politica. Escuchandolo pensé que la FAO no tiene ningun poder para resolver los problemas, los discute solamente, esta gente se està riendo del planeta de los campesinos. El verdadero poder està en las instituciones multilaterales. Vivimos en un mundo que no està organizados con reglas democraticas. La ONU es impotente, nosotros, en vez, condenamos el modelo neoliberal. A partir de esto tenemos que elaborar una estrategia. Tenemos que hacer reconocer como derecho, no como deseo, la soberania alimentaria. Tenemos que luchar contra la OMC en materia de agricoltura. En setiembre 2003, las ONG tienen que estar en Cancun para decirle a la OMC de retirarse de la agricoltura. Hay que organizarse desde hoy mismo, sin olvidar que hay un segundo progreso del modelo neo-liberal: los tratados de libre cambio entre Africa y Europa, en Asia; el modelo neo liberal avanza tramite estos tratados. La movilizacion debe tambien inscribirse en la lucha cotidiana, contra los transgenicos. Para que los estados no aprueben leyes para darle rinda libre a los transgenicos, rechazemos las politica de las transnacionales. Esta contra-cumbre es importante y tiene que llegar a un documento final para presentarlo en la FAO.

MICHAEL WINDFUHR. En 1996 en el documento final del forum de las ONG se hablò de instrumentos. Instrumentos como la combinacion de organizaciones que se oponen a los gobiernos favorables a la difusion de OGM. Hay que renforzar estas iniziativa, utilizando el sistema de los derechos humanos. Queremos crear instituciones mas poderosas y una estrategia complementaria par applicar a estos derechos. Los cambios que han ocurrido han tenido impacto tremendo sobre los agricultores en el Sur del mundo. Regulacion de los OGM, responsabilizacion de la OMC, del FMI en el ambito de los derechos humanos. Multinacionales y Naciones Unidas: hay que empujar el codigo de conducta, ya elaborado por algunas ONG.

SAROJENI RENGAM. Problema de la malnutricion. Esto debe estar bajo los auspicios de las comunidades campesinas, de las comunidades pesqueras. Estas comunidades tienen derecho a producir su propria alimentacion. Primero hay que reconocer estos derechos, segundo se necesitan politicas para protegerlo, reformas agrarias, agricoltura sostenibile. Ayuda economica no quiere decir proteccionismo nacionalista. Los gobiernos, por parte suya, reprimen estas luchas populares. Sobretodo la lucha de las mujeres que son la mayoria de los pequenos productores del Tercer Mundo. Hay que darle derecho a las mujeres a utilizar las semillas. Controlo industrial de la agricoltura: en este momento no hay instrumentos internacional para luchar contra quien oprime el derecho a la soberania alimentaria. Hay que desafiar la OMC y su filosofia “el commercio ante todo”. Desafiar la agenda neo liberal, el gobierno mundial. Basicamente se trattaria de una estrategia a nuestro alcance.

ASSEMBLEA PER LA SOVRANITA' ALIMENTARE

PAUL NICHOLSON

La globalizzazione sta distruggendo il nostro modo di vivere, la sovranità alimentare è un diritto, si tratta di dare priorità al mercato locale che è il più giusto in un contesto dove i cittadini non hanno diritto di sapere cosa vanno a comprare. Bisogna dare potere alle organizzazioni contadine e limitare l’uso degli OGM.

DAVINDER SHARMA

Guardiamo ad India e America, i giganti della democrazia. Si importa il doppio di quello che consuma una famiglia. Questa produzione a basso costo rovina gli agricoltori che migrano nelle città. Stiamo importando latte dalla Danimarca, perché costa meno importarlo che produrlo. In India c’è eccedenza di produzione di alimenti e il mondo ci dice che dobbiamo importare alimenti! Abbiamo difficoltà a smantellare questo sistema. Quando importiamo alimenti importiamo proteste. Quello che è più pericoloso è che siamo in piena crisi con la diffusione degli OGM.

NDIOUGOU FALL

Voglio parlare dell’accesso al mercato, il pericolo è vario e dipende dalla regione.Ci dicono di liberalizzare ancora di più il mercato ma è lo stesso mercato che crea i problemi. Due poli: uno che può soddisfare le sue esigenze l’altro in cui mancano i prodotti per soddisfare la domanda interna. Nuove tecnologie e Ogm sono le soluzioni che propongono ai paesi del Sud. Ostacoli: niente barriere, niente norme sanitarie. La soluzione del problema sta nella riconquista del sud da parte dei paesi del Sud. Il WTO ha accettato le rivendicazioni dei contadini europei. Allo stesso modo i paesi del Sud devono sviluppare politiche nazionali. Dal pensiero unico e dal consumo unico i paesi del Sud non hanno nulla da guadagnare.

RAFAEL ALEGRIA

Per chi è il mercato? Rinunciare alla nostra identità significa rinunciare ai nostri diritti. Perdiamo la protezione della nostra produzione. Il protezionismo è solo per le grandi potenze e per gli agricoltori che utilizzano fertilizzanti chimici e OGM. Tutto questo è ingiusto. Gli OGM, in particolare, hanno peggiorato la situazione. A Panama gli agricoltori muoiono di fameperché il governo importa il 100% dei prodotti agricoli. Il governo non ascolta le ragioni dei contadini. Sosteniamo la lotta contadina. Bisogna aumentare la produzione agro-ecologica per il consumo di ogni singola famiglia e comunità regionale attraverso giusti programmi di suddivisione delle terre e delle risorse naturali e di formazione per i produttori. E’ necessario un’alleanza con gli altri settori produttivi.

NETTIE WIEBBE

Sovranità alimentare: credo che questo non si possa considerare un problema nord-sud. In Canada pensavamo di essere i più grandi produttori di grano del mondo e abbiamo seguito tutte le regole che ci suggerivano gli esperti. Gli esperti dicono che il Canada ottiene molti risultati: quest’anno abbiamo esportato 3 volte piu’ che negli ultimi dieci anni. Pero’ abbiamo perso il 10.5% delle nostre famiglie di agricoltori. Questo è un risultato? Stiamo perdendo le comunità rurali. Non possono vivere una vita degna di essere chiamata tale. I piccoli agricoltori non riescono a sopravvivere. Chi ottiene i benefici? Le grandi imprese. Questo fa parte di una strategia: produzioni a basso prezzo per le esportazioni senza preoccuparsi degli effetti di questo sistema. In Canada diamo il mais ai maiali perché non possiamo venderlo. Anche nel nord c’è il dumping, ma di diverso tipo rispetto al sud del mondo. Oggi competiamo con il mondo intero. Nel 1996 la Fao nel documento conclusivo ha dichiarato che il cibo è un elemento di nutrizione prima che un elemento del commercio. Le cose non stanno così. Negli Usa e in Canada c’è un conflitto molto grave sulle etichette dei transgenici. Il cibo è sconnesso dall’informazione. La gente mangia questi prodotti ma non può prendere decisioni su di essi.

JOSE' BOVE'

Conferma quanto detto da Diouf il giorno prima, l’impotenza della FAO e la presenza di 2 soli rappresentanti di paesi ricchi, secondo lui, mostra quanto poco potere abbiano gli organismi dell’ONU. Il vero potere risiede nelle istituzioni multilaterali. Viviamo in un mondo che non è organizzato con regole democratiche. La FAO si prende gioco del mondo dei contadini e della povertà. Detta alcune strategie future: primo condanna il neoliberismo come causa di povertà e guerre, incita la lotta per il riconoscimento della sovranità alimentare come diritto inalienabile dell’uomo, spinge per far uscire dalle regole del WTO l’agricoltura. Chiama all’appello le ONG, le associazioni e la società civile internazionale per chiedere al WTO l’uscita dell’agricoltura dalle sue politiche al prossimo meeting di Cancun nel settembre 2003. Denuncia i trattati di libero scambio (ALCA, NAFTA) come più pericolosi e più incisivi delle stesse regole del WTO. Contro questi c’è il bisogno di mobilitazioni regionali e subregionali. La mobilitazione deve coinvolgere associazioni, ONG e società civile entrando a far parte della vita quotidiana. E’ fondamentale incentrare la battaglia contro gli OGM, le stesse multinazionali che ne finanziano la ricerca controllano le industrie chimiche e hanno l’accesso esclusivo alle risorse naturali. Appuntamento a Cancun, settembre 2003.

  • MICHAEL WINDFUHR

Nel documento del 1996 si parlava di strumenti. Strumenti quali l’unione di organizzazioni che si oppongono ai governi favorevoli alla diffusione degli OGM, bisogna rinforzare questa lotta con l’ arma dei diritti umani. Dobbiamo creare istituzioni più potenti e stabilire una strategia per far rispettare questi diritti. I cambiamenti avvenuti hanno avuto un impatto tremendo sugli agricoltori del sud del mondo. Regolamentazione degli OGM, responsabilizzazione del WTO e del FMI nell’ambito dei diritti umani. Multinazionali e Nazioni Unite devono assumere un codice di condotta elaborato da alcune ONG.

SAROJENI RENGAM Il problema della malnutrizione: questo sta alla base degli auspici delle comunità dei contadini e dei pescatori. Queste comunità hanno il diritto a produrre la propria alimentazione. Prima di tutto bisogna riconoscere questo diritto, secondo si necessita di una politica che tuteli questo diritto: riforma agraria, agricoltura sostenibile. Aiuti econonomici non vogliono dire protezionismo nazionalista. I governi, per parte loro, reprimono queste lotte popolari. Soprattutto la lotta delle donne che rappresentano la maggior parte delle lotte del terzo mondo. Bisogna dare forza e diritti alle donne affinchè possano usare le semine. Per quanto riguarda il controllo industriale della agricoltura in questo momento non ci sono strumenti internazionali per lottare contro chi opprime il diritto alla sovranità alimentare. Bisogna ostacolare gli OMC e la sua filosofia; il com

JEAN-MARC VON DER WEID Non discutiamo oggi sui vantaggi della agroecologia, che gia conosciamo, ma di come si possono generalizzare i risultati ottenuti. La domanda non è perché, ma come. parleremo dell’esperienza di tutti voi, delle vostre difficoltà, e ci occuperemo di OGM e di problemi finanziari. Per fronteggiare il problema della lentezza di diffusione della agroecologia ogni regione deve sviluppare strategie differenti. Ad esempio il messico, con il sistema” da contadino a contadin”o, la “ Farmes School” , “contadini associati” del Senegal. In Brasile stiamo lavorando con migliaia di contadini e con pochi tecnici, i quali appoggiano le contadine e si occupano della loro formazione. Affinché si generalizzi questa esperienza le organizazzioni contadine devono diventare la forza protagonista di questo processo., però si nesessita di un grande appoggio da parte delle grandi organizzazioni pubbliche. Necessitiamo di una regolamentazione che abbia lo scopo di finanziare questi progetti.


CONFERENCE SUR LA SOUVERAINETE ALIMENTAIRE

Paul Nicholson (Via Campesina)

Merci, bonjour à tous. Le modèle neo-liberal DE GLOBALISATION EST EN TRAIN DE DETRUIRE NOTRE manière de vivre. La souveraineté alimentaire c’est un droit, il s’agit de donner la priorité au marché domestique qui est plus juste, un conteste où il n’y a pas de dumping. La Souveraineté Alimentaire est un droit de citoyens qui peuvent savoir qu’est ce qui vont manger. Il s’agit de donner pouvoir aux organisations paysannes. Les organisations paysannes doivent avoir plus de pouvoir.

Davidner Sharma (India- Asia) Regardons l’Inde et l’Amérique : les deux géants démocratiques. On remarque qu’il y à une importation double par rapport aux nécessitées d’une famille. Cette production bon marché détruit le s petits agriculteurs qui sont obligés à migrer dans les villes. Par exemple on importe le lait par ce que c’est plus convient que de le produire ici. En Inde on signale un surplus de production alimentaire mais on nous dit de importer des aliments. On as beaucoup de difficultés à démonter ce système : quand on importe des aliments c’est comme si on importais des manifestations de contestation. Mais ce qui est encore plus dangereux c’est que on est en pleine crise avec l’importation des OGM.

Ndiougou Fall (ROPPA) Je parlerais de l’accès au marché. Les dangers sont divers et différentes dans chaque région. On nous dis de libéraliser plus le marché ? C’est difficile de accepter cette solution vu que c’est le marché que crées les problèmes. Deux pôles : un monde qui peut satisfaire ses propres nécessitées, et un autre qui n’as pas de produits et qui doit satisfaire la demande interne. Nouvelles technologies OGM ce sont les solutions proposées aux pays du Sud. Mais il y a une barrière, celle du control du marché du Sud de la parte des pays du Sud. Dans le OMC on a reconnu les revendications des agriculteurs européens. Les pays du Sud doivent aussi développer des politiques commerciales nationales. Pensée Unique, Marché Unique : mais les pays du Sud qu’est ce qu’ils ganent avec tout ça ?

Rafael Alegria (Via Campesina)

Pour qui c’est le marché ? Renoncer à la notre identité, à nos droits. Nous n’avons pas la protection sur nos produits. Protectionnisme seulement pour les grandes puissances et pour les agriculteurs qui utilisent les Pesticides chimiques. OGM c’est injuste ! Les OGM ont rendu les choses encore plus difficiles. Au Panamà les paysans n’ont pas un futur par ce que le gouvernement importe la totalité des produits agricoles. Le gouvernement n’écoute pas les paysans. Il faut soutenir la lutte paysanne pour les consommations de chaque famille, de chaque région, programme de partage de la terre et une formation pour que les producteurs créent une alliance avec les autres secteurs de production.

Nettie Wiebbe (Canada- Via Canpesina) La souveraineté alimentaire. Je crois que c’est un problème que on ne peut pas considérer comme Nord- Sud. Au Canada on crois d’être les grands gagnant de ce système et on a suivi toutes les règles conseillées par les experts. Ces derniers nous disent que le Canada a obtenu beaucoup de résultat, aujourd’hui on exporte trois fois plus de aliments que il y a dix ans. Mais on a perdu 10,5 % de la population d’agriculteurs et rurales. Ils ne peuvent pas vivre une vie digne : les petits agriculteurs ne peuvent pas survivre. Est ce que vous pensé que on peut appeler ça un résultat ? Et qui est ce que prend bénéfice de tout ça ? Le grandes entreprises. La stratégie c’est : production intensive à pris cassées pour l’exportation, et totale desinteret pour la destination de cette même production. Au Canada on donne du mais ou cochons par ce que on ne peut pas le vendre. Même dans le nord on a du « dumping » mais d’un autre type par apport au sud. On est en compétition avec le monde entier. Aux Etats Unis et au Canada il n’y a pas d’information sur les marques des produits des aliments génétiquement modifiées. Donc les consommateurs n’ont pas la possibilité de décider

José Bové (Confédération Paysanne Européenne)

Confirme ce que Mr Diouf (DR. FAO) avais dis pendant la conférence de hier : l’impuissance de la FAO et la présence de seulement deux représentants des pays riches démontrent le pouvoir limité de l’ONU. Le vrai futur est dans le organisations multilatérales. On vis dans un monde qui n’est pas organisé selon des règles démocratiques. La FAO se moque du monde paysan et de la pauvreté.

Il donne quelque idées sur les stratégies futures : comdannation du neoliberisme et la lutte pour la reconnaissance de la souveraineté alimentaire qui est un droit fondamentale de l’homme. Il appelle les ONG et la societé civile internationale pour demander à l ‘OMC à l’occasion du meeting de Cancun en septembre 2003, de sortir de sa politique les enjeux de l’agriculture. Il dénonce les accords du libre échange (ALCA , NAFTA) comme les plus dangereux et fondamentales du OMC. Il faut que les associations et la société civile se mobilisent au niveau régional et locale. Il faut aussi perpétrer une bataille contre les OGM et les multinationales qui financent la recherche en contrôlant les industries chimiques que, à la fois ont un control exclusif des ressources naturelles. Rendez vous a Cancun en septembre 2003.

Michael Windfuhr (FIAN)

Dans le document du 1996 on parlais de moyens. Moyens tel que les organisations qui s’opposent au gouvernements qui favorisent les OGM. Il faut renforcer cette lutte avec le soutien des droits humains. Les récents changement ont eut un impacte féroce sur les agriculteurs du sud. Réglementation des OGM, responsabilisation du OMC et du FMI. Les multinationales et l’ONU doivent suivre une conduite proposée par les ONG.

MODELOS AGROECOLOGICOS DE PRODUCCION

JEAN-MARC VON DER WEID. No discutiremos hoy sobre las ventajas de la agroecologia, que ya son conocidos, pero vamos a hablar de como se pueden generalizar los resultados logrados. La pregunta no es porqué pero como, hablaremos de las experiencias de todos ustedes, de sus dificultades, y no nos vamos a ocupar de OGM o de problemas financiales. Para enfrentar el problema de la lentitud de la difusion de la agroecologia cada region escogiò soluciones diferentes. Como en Mexico con el sistema“de campesino a campesino”, como las “Farmers Schools” asiaticas o “Les paysans chercheurs” senegaleses. En Brazil estamos trabajando con miles de campesinos y pocos tecnicos, que apoyan los campesinos en la formacion. Para que se generalizen estas experiencia las organizaciones campesinas tienen que ser las fuerzas protagonicas de este proceso, pero si deben un apoyo de las grandes organizaciones publicas. Tenemos necesidad de recursos que financien estos proyectos porqué los campesinos muchas ve

JEAN-MARC VON DER WEID Non discutiamo oggi sui vantaggi della agroecologia, che gia conosciamo, ma di come si possono generalizzare i risultati ottenuti. La domanda non è perché, ma come. parleremo dell’esperienza di tutti voi, delle vostre difficoltà, e ci occuperemo di OGM e di problemi finanziari. Per fronteggiare il problema della lentezza di diffusione della agroecologia ogni regione deve sviluppare strategie differenti. Ad esempio il messico, con il sistema” da contadino a contadin”o, la “ Farmes School” , “contadini associati” del Senegal. In Brasile stiamo lavorando con migliaia di contadini e con pochi tecnici, i quali appoggiano le contadine e si occupano della loro formazione. Affinché si generalizzi questa esperienza le organizazzioni contadine devono diventare la forza protagonista di questo processo., però si nesessita di un grande appoggio da parte delle grandi organizzazioni pubbliche. Necessitiamo di una regolamentazione che abbia lo scopo di finanziare questi progetti.

Meeting for the Food Sovereignty

PAUL NICHOLSON

The neoliberistic model of globalization is destroing our way of life. The food sovereignty is a right, that means to give priority to the local market which is the most fair, and this in a context where the citizens don't have the right to know what they are eating. It is important to give power to the local farmer associations and limit the production and the diffusion of GMO.

DAVINDER SHARMA

Let's have a look at India and America, the two democratic giants. Their Import is twice of what a family consumes. The logic of low costs ruins the farmers who are moving to the cities. We are importing milk from Denmark because it is more economic than the milk which we produce. In India we have surplus of food but we tell the world that we have to import more food. We have difficolties to destroy this system. At the moment we import food but we also import demostrations. This causes more hunger, we find ourselves in a crises with the GMO diffusion.

NDIOUGOU FALL

I want to talk about market's access: the danger is complex and it is different from region to region.They tell us that they will liberalize the market but it is the market itself that create problems. Two poles: one that can satisfy it's demands, the other one in which lack the products to satisfy the internal demands. New technologies and MGO are the solutions for the southern countries. Obstacles: no barriers, no sanity precautions. The problem's solution is the conquest of the South for the southern countries.The WTO accepts the european farmers' claims. In the same way The southern countries have to develop national policies. A global thought and a global use does not help at all the countries of the South.

RAFAEL ALAGRIA

Who's market is it? To renounce our identity means to renounce our rights. We loose the protection of our production. The protectionism works only for the big organizations and for the farmers who use chemical fertilizer and GMO. All this is not fair. Expecially the GMO have aggravate the situation. In Panama the farmers are starving. Sarogeni Rengam: The problem of the malnutrion: this is the basic problem of the farmer's and fishermen's comunities. These comunities have the right to produce their own food. First of all we have to recognize this right, second, we need policies which protect this right: agricultural reform, a sustainble agriculture. Economic help does not mean nationalist protectionism. The governments on their hand repress these local fights. Expecially the women's fight that represent most of the fights in the third world. We need to give power and rights to the women so that they can use the seedings. Regarding to the industrial control over agriculture, at the moment we don't have any instruments to fight against who opresses the right of food sovereignty. We need to hinder the WTO and it's filosophy, expecially the trade. To hinder the neoliberistic agenda, the world government. Above all it would be a strategy in our favor. AGRICULTURAL MODELS OF PRODUCTION

Jean-Marc von der Weid: Today we don't discuss about the benefits of agro-ecology, which we already know, but how we can generalize the resuts that we have already achieved. The question is not why but how we will discuss your experiences, your difficulties and we will discuss about the GMO and financial problems. To face the problem of the slow diffusion of agro-ecology, every region has to develop different strategies. For example, Mexico, it's "farmer to farmer" sistem, the "Fames School", "joined farmers" of Senegal. In Brazil we work together with thousands of farmers but there are only a few experts, who support the female farmers and worry about their education. In order to generalize this experience, the female farmer organizations have to become the motor of this process, but we need the help of the big public organizations We need policies to finance these projects.


SINTESI dalla Fao

Si è tenuta oggi la cerimonia di apertura del Vertice della Fao, sulla base di un documento finito di elaborare nella giornata di ieri. Due sono gli elementi principali di questo documento: innanzitutto, c’è un riferimento molto blando riguardo alla questione del diritto al cibo per tutti. Continua così ad essere accreditata la tesi del dovere dell’assistenza ai poveri, contro il diritto inalienabile di uomini e donne a nutrirsi, che è uno dei punti fondamentali del Forum per la Sovranità alimentare tenutosi anche oggi in parallelo. Nonostante ciò, anche il piccolo riferimento sul diritto mimino ad alimentarsi contenuto nel documento sarebbe stato frutto di una mediazione dell’Europa, che ha dovuto superare gli ostacoli posti dagli stati uniti. Gli Usa infatti avrebbero preferito evitare anche questo minimo accenno.

  • Il secondo elemento principale della dichiarazione FAO riguarda l’apertura, seppure limitata, alle biotecnologie. Posizione totalmente lontana dalle dichiarazioni e proposte ascoltate all’interno del Forum per la Sovranità alimentare, dove è stata invece forte la condanna di biotecnologie ed Organismi Geneticamente Modificati. Eppure ieri c’erano stati al Forum tanti applausi per il segretario generale della FAO Jacques Diouf, che oggi ha aperto i lavori del Vertice dopo gli interventi di esponenti governativi italiani.

Il vertice, infatti, è stato aperto dal discorso di Silvio Berlusconi, un discorso lungo e retorico, e vuoto di contenuti innovativi. Valter Veltroni, sindaco di Roma, ha lodato l’impegno suo, dei sindaci italiani e dei sindaci del mondo sulle loro buone intenzioni. Jacques Diouf, segretario della FAO, ha invece lodato il contributo delle organizzazioni non governative (realtà queste ultime che certo non incidono molto a livello di politiche di alimentazione nel mondo adottate dai governi), mentre ha criticato l’assenteismo da parte dei paesi più industrializzati, Infatti va sottolineata l`assenza di diversi capi di Stato occidentali, disinteressati alle tematiche discusse e che probabilmente sanno già come continuare ad affamare il mondo senza i consigli inutili della FAO. I Paesi piu' industrializzati presenti, rappresentati a livello governativo, sono solo 2 su 29. Diouf ha inoltre rimarcato come le promesse fatte finora su alimentazione non siano state mantenute e come gli atti contraddicano le parole dei governi. In ultimo, alcuni cenni sul programma del Vertice. A partire da martedi' 11 fino a giovedi' 13, parallelamente ai lavori dell'assemblea plenaria, le varie delegazioni dei paesi presenti si suddivideranno in tre gruppi per dar vita ad una serie di tavole rotonde. Mercoledi' 12 un incontro da segnalare: dovrebbe tenersi un tavolo di dialogo tra rappresentanti dei governi e delle Organizzazioni non Governative, alcune della quali stanno partecipando al Forum per la Sovranità Alimentare. Per tutta la durata del summit sono previsti inoltre una quarantina di 'Side events', vale a dire eventi di cornice. Una parte di questi sono indirizzati alla presentazione delle attivita' primarie della Fao: un'altra e' focalizzata nell' organizzazione di riunioni di gruppi regionali, economici od agricoli che vengono al summit per incontrarsi con i rappresentanti dei loro stessi paesi e con quelli dei paesi donatori per stabilire le priorita' regionali.

Sommet Fao: ouverture Aujourd’hui, a eu lieu la cérémonies d’ouverture du Sommet Fao, avec la présentation d’un document qui a été terminé d’être élaboré pendant la journée de hier. Deux sont les éléments principaux de ce document: avant tout, on parle d’une faisons très faible de la question du droit à la nourriture pour tous. Donc, on parle toujours d’un devoir à l’assistance pour le pauvres, contre le droit fondamentale des hommes et des femmes à sa propre nourriture, qui est un des point les plus fondamentales du Forum pour la Souveraineté alimentaire ( qui même aujourd’hui a eu lieu en parallèle). Malgré tous, aussi cet petit cenne sur le droit minimum à l’alimentation, qui est écrit dans le document, est le résultat d’une médiation de l’Europe, pour gagner sur les obstacles mis en œuvre par les Etat Uni. Le Usa, en effets, aurons préféré d’éviter aussi cet petit cenne. Le deuxième élément principal du document de la Fao il concerne l’ouverture, partialement limitée, aux biotechnologies. Cette position est très loin respect aux propositions qui nous avons écoutées pendant le Forum sur la souveraineté alimentaire, ou il y a eu une condamnation envers les biotechnologies et les OGM. Cependant, Jacques Doiuf, qui aujourd’hui a ouverte le Sommet, a-t-il reçu beaucoup de consens hier au Forum….. Dans son discours, il a remarqué la contribution des ONG (mais les ONG n’ont pas de pouvoir de décision au niveau des politiques gouvernemental) ; dans le même temps, il a condamné l’absence des la plus part des Etats industrialisé. En effets, on doit souligner l’absence de plusieurs chef d’Etat de l’Occident, qui n’ont pas fait preuve de beaucoup d’intéresse aux thèmes en discussion. Avec tous probabilité, ils savent déjà comme mettre le monde à la faim, sans l’intervention de la FAO ! Le pays plus industrialisé, dans ce Sommet, sont seulement 2 sur un total de 29. Diouf, en plus, a remarqué comme le promis qui on été faites sur l’alimentation n’ont pas eu suivre, et comme les actes des gouvernes sont-ils différentes des leurs discours.

Enfin, quelques rendez-vous A partir de mardi 11, et jusqu’à jeudi 13, en contemporaine aux travails du Sommet, les délègues des différents pays formeront trois groupes de travail. Mercredi 12 : il y aura lieu un rendez-vous entre les délégués des gouvernes et les délègues des ONG, qui participent au Forum sur la Souveraineté Alimentaire. Pendant tout le Sommet ils sont prévus des « Side events ». De ces « side events », un group il aura la fonctionne de présenter les activités de la Fao, ; un autre, pour l’organisation des rendez-vous entre les groupes régionaux, économiques, agricoles, qui sont au Sommet pour se rencontrer avec les représentants des pays donnant l’argent pour établir les priorités régionaux.

Lunedi_10_giugno (last edited 2008-06-26 09:48:08 by anonymous)