gRor delle 13
Esteri
iraq
Ennesimo attacco contro le forze statunitensi a Fallujah, uno dei principali bastioni dei fedelissimi dell'ex regime di Saddam Hussein, una sessantina di chilometri a ovest di Baghdad. Secondo testimoni, un convoglio militare americano di carri armati e autoblindo è stato fatto bersaglio ad almeno tre colpi di lancia-granate mentre stava passando per il quartiere di al-Jamhuriyah, in pieno centro cittadino. E' stato colpito un tank, che ha preso fuoco, mentre un secondo proietto si è abbattuto su una casa. Nessun ferito.
Irak
Les Etats-Unis ont demandé, mercredi 3 septembre, à l'ONU d'aider à l'élaboration d'un "calendrier politique" pour l'Irak et à autoriser la création d'une "force multinationale", dans le cadre d'un projet de résolution présenté au Conseil de sécurité. Alors que les difficultés s'accumulent en Irak pour les Américains, Washington multiplie les tentatives de sortie de crise en procédant à une "irakisation" du pouvoir à Bagdad avec la formation du premier gouvernement irakien post-Saddam Hussein. Les Américains essaient également d'internationaliser la question de la sécurité en Irak, en présentant un projet de résolution au Conseil de sécurité de l'ONU selon lequel ce dernier pourrait valider la création d'une force multinationale, accordant à l'ONU un rôle plus direct dans l'avenir du pays.
Selon un projet de résolution, la force multinationale sera autorisée "à prendre toutes les mesures nécessaires pour contribuer au maintien de la sécurité et de la stabilité en Irak". Cette force sera placée "sous commandement unifié". Une telle démarche, à laquelle le président George W. Bush a donné son aval mardi, constitue un tournant pour la Maison Blanche, jusqu'à présent très réticente à revenir devant le Conseil de sécurité pour demander de l'aide et reprendre des négociations avec des pays opposés à la guerre comme la France, l'Allemagne et la Russie.
La place des Nations unies en Irak est pour l'instant confinée, au titre de la résolution 1483 adoptée le 22 mai, à un rôle de coordination humanitaire et de conseil politique. Face aux attaques quotidiennes contre les forces d'occupation, dont la dernière a eu lieu dans la nuit de mercredi à jeudi où les Américains ont essuyé une attaque au mortier à Tikrit, fief de Saddam Hussein, de nombreuses voix se sont élevées à l'étranger et aux Etats-Unis pour que le rôle de la communauté internationale soit élargi.
Cette résolution, si elle est adoptée, devrait permettre à davantage de pays de contribuer en troupes à l'effort de stabilisation, en plus des quelque 140 000 soldats américains et 20 000 hommes d'autres nationalités déjà présents, a déclaré le secrétaire d'Etat américain, Colin Powell, avant de présenter le projet. Il a cité la Turquie, l'Inde ou encore le Bangladesh. De son côté, l'Angleterre, par la voix de son ministre des affaires étrangères, a appelé à l'envoi de troupes supplémentaires en Irak.
"Les Etats-Unis continueront de diriger le commandement unifié, et un élément de la résolution leur demandera, en tant que chef de la coalition militaire, de faire rapport régulièrement devant les Nations unies", a-t-il précisé. Washington voudrait également que l'ONU presse le Conseil de gouvernement irakien, mis en place sous la houlette américaine, d'élaborer un "calendrier politique" en vue d'une nouvelle Constitution et de la tenue d'élections libres, afin de jalonner le retour du pays à une souveraineté normale.
Le projet contient également des dipositions visant à inciter la communauté internationale à se montrer généreuse pour la recontruction de l'Irak, dont le fardeau budgétaire commence à alarmer l'opposition démocrate et de nombreux membres du Congrès américain. Celui-ci s'est par ailleurs félicité du projet de résolution accordant un rôle plus important à l'ONU.
Le chef de la diplomatie américaine a indiqué avoir entamé des discussions avec ses homologues des pays membres du Conseil de sécurité, en particulier ceux qui se sont le plus fermement opposés au conflit, le Français Dominique de Villepin, l'Allemand Joschka Fischer et le Russe Igor Ivanov. Ces trois pays ont rappelé ces derniers jours qu'ils souhaitent que l'ONU joue désormais un rôle central en Irak, sur le plan militaire, politique et économique, mettant en avant la nécessité de sortir d'une logique d'occupation.
M. Powell a affirmé que "les Etats-Unis vont continuer d'avoir un rôle dominant" en Irak, tout en soulignant que cela "ne veut pas dire qu'ils auront le seul rôle". La Maison Blanche a précisé que l'administrateur américain en Irak, Paul Bremer, et la coalition américano-britannique "continueront de contrôler nos efforts de reconstruction", dans le cadre d'un éventuel mandat élargi de l'ONU. Tout en assurant avoir obtenu de premiers échos positifs, M. Powell a déclaré qu'il attendrait la fin de la semaine pour faire le point des "réactions et suggestions" des différents membres du Conseil de sécurité. Il a souhaité entrer dans le vif des négociations en début de semaine prochaine en vue d'une adoption rapide du projet, sans pour autant fixer de date butoir à l'adoption d'un texte.
Usa
Gli Stati Uniti hanno chiesto la possibilità di rinviare di tre anni la scadenza dell'aprile 2004, momento al quale avrebbero dovuto avere distrutto almeno il 45 percento delle armi chimiche in loro possesso. Lo ha indicato in serata a Washington il Pentagono, ricordando che la Convenzione internazionale sulle armi chimiche (Cwc) prevede la possibilita' di rinviare scadenze di questo tipo se necessario. La Convenzione Cwc stabilisce che il 100 per cento delle armi chimiche vengano distrutte entro il 2007. Al giorno d'oggi gli Usa ne hanno distrutto soltanto il 23 per cento
Palestina
Le ministère de l'Habitat israélien a publié jeudi un appel d'offres pour la construction de 102 logements supplémentaires dans la colonie d'Efrat dans le sud de Cisjordanie, a annoncé la radio militaire israélienne.Il s'agit du troisième appel de ce genre pour la construction de logements lancés par le gouvernement israélien depuis la dernière visite du Premier ministre Ariel Sharon à Washington à la fin juillet.Le mouvement israélien opposé à la colonisation, la Paix maintenant, a dénoncé cette décision."Le gouvernement d'Ariel Sharon en poursuivant la colonisation donne raison à Yasser Arafat lorsqu'il affirme que la feuille de route est morte", a affirmé à l'AFP un porte-parole de la Paix Maintenant.La "feuille de route", plan de paix international approuvé par Israël et l'Autorité palestinienne, prévoit le gel de la colonisation dans les territoires palestiniens et la création par étapes d'un Etat palestinien d'ici à 2005.Selon des propos rapportés par la chaîne câblée américaine CNN, M. Arafat a estimé mercredi que la "Feuille de route" était "morte" en raison de "l'agression israélienne".Le 31 juillet, le gouvernement israélien avait lancé un appel d'offres pour la construction de 22 logements dans la colonie de Névé Dékalim dans le sud de la bande de Gaza.Il s'agissait du premier appel pour la construction de logements dans une colonie de la bande de Gaza depuis plus d'un an.Un autre appel d'offres a ensuite été lancé pour des logements à Har Homa, colonie située à la limite de Jérusalem-est et de la Cisjordanie.
chile
Ha provocato rabbia e sconcerto tra i familiari dei ‘desaparecidos’ l’ordinanza con cui il sindaco di Recoleta (Santiago), Gonzalo Cornejo, ha ordinato la chiusura del cimitero locale in occasione del 30esimo anniversario del golpe di Augusto Pinochet, il prossimo 11 settembre. “È la decisione più assurda che si poteva prendere” ha dichiarato alla stampa la presidente dell’Associazione dei parenti delle vittime del regime Mireya García – è una violenza contro chiunque ma in particolare contro i familiari che ogni anni ricordano nel memoriale del cimitero i propri cari”. Ma il primo cittadino di Recoleta è apparso irremobivile: “la mia responsabilità è vigilare sui beni di proprietà del comune – ha ribattuto Cornejo al quotidiano ‘La Segunda’ – il campo santo resterà assolutamente chiuso”. Il sindaco si è detto certo che quest’anno le consuete manifestazioni presso il cimitero, dove risposano anche le spoglie dell’ex presidente Salvador Allende, saranno caratterizzate da un numero più alto di incidenti rispetto agli scorsi anni. Secondo il rapporto della Commissione Rettig, istituita nel 1990 dall’allora presidente Patricio Alwyn per documentare i crimini perpetrati durante la dittatura di Pinochet (1973-’90), le vittime del regime sono state almeno 3179. Di queste 1192 sono ‘desaparecidos’.
liberia
Decine di migliaia di profughi ospiti dei campi di Totota (circa 80 chilometri a nordovest di Monrovia) stanno scappando in direzione della capitale liberiana, temendo di finire vittima di nuovi attacchi e violenze. La notizia, diffusa da alcune agenzie internazionali, è confermata alla MISNA da padre Mauro Armanino, superiore regionale della Società missioni africane (Sma), uno dei pochi occidentali rimasto a Monrovia durante il recente conflitto. “Questo è il tempo della vendetta. Sono stato domenica scorsa a Totota – dice il religioso - e già migliaia di persone stavano cominciando a fuggire. La gente scappava per timore di essere uccisa, maltrattata o sequestrata, scappava per paura di ritorsioni e vendette”. Padre Armanino spiega che nell’area intorno a Totota (che da tempo ospita tra i 40 e i 45mila profughi) alcuni villaggi erano stati incendiati e diverse persone si erano date alla fuga. “I fuggitivi sono passati dai campi profughi e gli sfollati, vedendoli, si sono sentiti anch’essi in pericolo” continua il missionario. I profughi sono stati inoltre messi in allarme da rumori di arma da fuoco e colpi di mortaio provenienti dalle zone vicine. Il missionario ritiene che, con ogni probabilità, i profughi si stiano dirigendo verso Salala - circa 25 chilometri a sud di Totota e intorno ai 70 chilometri a nord di Monrovia - dove sono stati costruiti campi di accoglienza, sebbene privi di servizi. “Questa situazione conviene anche ai governativi – è il commento di padre Armanino – perché chi scappa è costretto a lasciare indietro parte dei propri beni, che vengono puntualmente depredati. Le sofferenze del popolo liberiano, purtroppo, non sono ancora finite”.
Australia
L’Australia ha concesso l’entrata sul suo territorio a 14 cittadini afgani. Si tratta di uno sparuto gruppo dei 433 profughi che nell’estate del 2001 cercarono di raggiungere le coste australiane con una carretta del mare e vennero raccolti durante il tragitto dal cargo norvegese ‘Tampa’. Le autorità australiane impedirono al natante di proseguire, bloccato per settimane al largo dell’isola di Christmas. La vicenda attirò l’attenzione internazionale, ed infine i profughi vennero distribuiti in ‘campi’ a Narau e Papua Nuova Guinea. Il piccolo gruppo, a cui è stato concesso un permesso di soggiorno provvisorio, ha vissuto negli ultimi due anni in un campo profughi di Narau insieme ad altri 302 compagni di viaggio. Al fortunato destino degli afghani dovrebbero aggiungersi ulteriori 12 richiedenti asilo inclusi due palestinesi, ha precisato il governo di Canberra. L’Australia è stata più volte oggetto di critiche sia dall’estero che dall’interno per la sua restrittiva politica sull’immigrazione ed in particolare sui rifugiati. La decisione di accettare un numero di profughi, sebbene ridotto, è stata descritta da alcuni esponenti dell’opposizione “un passo avanti” che però non smorza le accuse più pesanti. Al governo conservatore, i laburisti e i democratici contestano l’uso di campi profughi in Paesi stranieri limitrofi, che comportano una forte spesa, e comunque protestano per l’esistenza stessa di questi ‘centri di detenzione’ per persone che non hanno commesso alcun crimine. Nei campi di Narau e Papua Nuova Guinea si trovano ancora 356 cittadini stranieri, decine dei quali rimpatriati forzosamente con grandi proteste da parte di organizzazioni per i diritti umani, come Amnesty International e Human Rights Watch, che sottolineano come in certi casi ‘tornare a casa’ significhi affrontare concrete persecuzioni
ITALIA
Vicenza
A Vicenza è pronta per essere firmata una nuova ordinanza: quella contro l’accattonaggio. L’autore? Valerio Sorrentino, assessore alla sicurezza e vicesindaco della città, già artefice della contestata ordinanza anti-bivacco in Campo Marzio. Nonostante l’accattonaggio non sia più un reato, è nel potere delle Amministrazioni Locali intervenire per regolamentarlo. A Vicenza non verrà bandito ma almeno vietato nelle vie del centro e regolamentato con apposite ‘distanze di sicurezza’ in altri punti della città. Sarà vietato, ad esempio, esercitare sui marciapiedi e i mendicanti non potranno essere vicini più di un centinaio di metri l’uno dall’altro. Tutto ciò per stroncare, secondo Sorrentino, le organizzazioni malavitose che sfruttano persone povere rendendole schiave di un’attività umiliante e per dare una risposta a quei cittadini che si lamentano della presenza di troppe persone che elemosinano per le vie della città.
GR ORE 9.30
Colombia
Il governo colombiano vede positivamente la possibilita' che rappresentanti dell'Onu e delle Forze armate rivoluzionarie della Colombia (Farc) si incontrino in territorio brasiliano. Lo ha reso noto il ministro degli esteri colombiano, Carolina Barco. Reagendo a notizie insistenti provenienti da Brasilia, il ministro ha precisato che comunque fra le condizioni per avanzare in un negoziato con la guerriglia vi sono la cessazione delle ostilità e la accettazione da parte delle Farc della base negoziate posta dal governo di Bogotà. Ieri il consigliere per le relazioni internazionali del presidente Luiz Inacio Lula da Silva, Marco Aurelio Garcia, ha indicato che il capo dello stato brasiliano offrirà la disponibilità del suo Paese ad accogliere un 'faccia a faccia' fra l'inviato speciale dell'Onu, James Lemoyne, e il 'numero due' delle Farc, Raul Reyes, in occasione di un vertice il 15 settembre con il collega Alvaro Uribe in Colombia.
Usa
Gli Stati Uniti hanno chiesto la possibilità di rinviare di tre anni la scadenza dell'aprile 2004, momento al quale avrebbero dovuto avere distrutto almeno il 45 percento delle armi chimiche in loro possesso. Lo ha indicato in serata a Washington il Pentagono, ricordando che la Convenzione internazionale sulle armi chimiche (Cwc) prevede la possibilita' di rinviare scadenze di questo tipo se necessario. La Convenzione Cwc stabilisce che il 100 per cento delle armi chimiche vengano distrutte entro il 2007. Al giorno d'oggi gli Usa ne hanno distrutto soltanto il 23 per cento