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The new park is some 568,000 acres (230,000 hectares) larger than Slonga National Park in the Democratic Republic of Congo - until now the world's largest protected tropical reserve. The new park is some 568,000 acres (230,000 hectares) larger than Slonga National Park in the Democratic Republic of Congo - until now the world's largest protected tropical reserve.


'''Géorgie'''
attaque d'avions russes sur les gorges de Pankissi
 
 
Des avions de chasse russes ont attaqué en trois endroits dans la région géorgienne des gorges de Pankissi, a indiqué vendredi le service des garde-frontières géorgiens en citant des témoignages d'habitants. Les appareils, dont le nombre exact n'a pas été précisé, ont pénétré dans l'espace aérien de la Géorgie vers 04H15 GMT et ont attaqué la zone de Kakhétinsk dans les gorges de Pankissi. Le ministère russe de la Défense a démenti cette information. "Les forces aériennes russes n'ont pas effectué de vol dans la région de la frontière russo-géorgienne vendredi matin", a déclaré le chef du service de presse, le colonel Alexandre Drobichevski, cité par l'agence Interfax. Le président géorgien Edouard Chevardnadzé a exprimé son indignation après cet incident. "Si les choses continuent de cette façon, la Géorgie devra utiliser toutes les méthodes possibles pour mettre un terme à ces bombardements", a-t-il déclaré. La Russie affirme que les gorges de Pankissi, proches de la frontière tchétchène, abritent quelques centaines de rebelles tchétchènes, et que la Géorgie tolère leurs activités et les laisse traverser la frontière dans les deux sens. Des responsables géorgiens ont été dépêchés sur place pour vérifier les informations des habitants de Kakhétinsk. La Géorgie a accusé la Russie d'avoir violé son espace aérien à cinq reprises au cours des dernières semaines. Moscou a toujours démenti ces accusations mais au moins une attaque a été confirmée par des observateurs de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE). Le service de presse des garde-frontières russes pour le Caucase du Nord a aussi démenti toute violation de l'espace aérien géorgien. Le système d'observation des garde-frontières n'a pas détecté de survol de la frontière russo-géorgienne par un quelconque appareil", selon ce service. Incapable de mettre un terme aux opérations des indépendantistes en Tchétchénie, la Russie a récemment multiplié ses critiques à l'égard de la Géorgie, qu'elle accuse de servir de base arrière aux rebelles.

'''Francia'''


Un militant antimondialisation condamné à trois mois de prison ferme à Strasbourg
Accusé d'avoir blessé un policier lors d'une manifestation fin juillet, Ahmed Meghini, membre du collectif No Borde, affirme qu'on l'a confondu avec un autre participant au défilé.
Strasbourg de notre correspondant

Qui est Ahmed Meghini, 25 ans, l'un des manifestants du collectif antimondialisation No Border, le 24 juillet à Strasbourg ? Est-ce le "casseur et le lâche" que décrit Me Cédric Lutz-Sorg, conseil d'un policier strasbourgeois blessé ce jour-là ? Est-ce "un militant non violent qui se bat pour ses idées", comme l'affirme Me Frédéric Massiot, défenseur du jeune homme ? Le tribunal correctionnel de Strasbourg a tranché mercredi 21 août : c'est bien le jeune Parisien qui a frappé un capitaine de police avec un pieu de bois et a lancé un peu plus tôt des noms d'oiseaux à un commissaire.
   
Mis en examen pour "violences aggravées et outrages contre une personne dépositaire de l'autorité publique", il a été condamné à huit mois d'emprisonnement dont trois ferme.

Près de 2 000 personnes s'étaient retrouvées à Strasbourg fin juillet pour plaider "pour la liberté de circulation et d'installation en Europe et contre les dispositifs sécuritaires". La capitale alsacienne est en effet le siège du centre informatique né des accords de Schengen. Pendant une dizaine de jours, les No Border avaient enchaîné au centre-ville cortèges, théâtre de rue et concerts de tambour. Le 24 juillet, entre 500 et 700 personnes ont commencé à défilé sous haute surveillance – l'avant-veille, il y avait eu de la casse dans la ville. Au fil de la manifestation, des bâtiments publics ont été taggués. Quand un groupe a voulu s'en prendre au monument aux morts, place de la République, la police s'est interposée. "On a eu alors l'ordre d'interpeller les fauteurs de troubles", explique le policier blessé, venu à l'audience le bras en écharpe. "Ils nous ont lancé des projectiles, des bouteilles, des pierres, même une fusée d'artifice." Le policier est formel : deux manifestants l'ont frappé avec des pieux arrachés dans un parc. "J'ai pu me protéger du premier coup avec mon tonfa [bâton de défense], mais il a volé en l'air et le second coup m'a fracturé la main. Sous le choc, l'individu a lâché son bâton avant de se fondre dans la foule."

L'individu, le capitaine de police en est sûr, c'est Ahmed Meghini. Lui et l'un de ses collègues l'ont reconnu. Les policiers se sont dégagés avec des grenades lacrymogènes et le signalement du jeune manifestant a été diffusé. Il a été interpellé un peu plus tard dans la manifestation, comme une vingtaine d'autres personnes. Seul écroué, il a été présenté en comparution immédiate le surlendemain au tribunal de Strasbourg et a obtenu le renvoi du procès, mais sa demande de mise en liberté a été rejetée : sans domicile, il n'offrait pas de garanties de représentation. Ahmed Meghini a ensuite été mis à l'isolement à la maison d'arrêt de Strasbourg, "soi-disant pour ne pas influencer les autres détenus par ses idées", s'indigne son avocat.

Devant le tribunal, le jeune homme n'a pas nié son engagement. "J'ai un idéal de justice", a-t-il expliqué, souriant à la petite poignée de ses amis que les forces de l'ordre ont laissés entrer dans la salle. D'ailleurs, alors que d'autres manifestants étaient encagoulés, lui ne l'était pas : "Je n'ai jamais voulu me masquer, j'assume mes idées." Cofondateur du Mouvement spontané des citoyens dans la rue créé entre les deux tours de la présidentielle, il a un peu de "métier", a organisé plusieurs manifestations parisiennes et en a même souvent demandé l'autorisation. "Mais je n'ai pas commis ces actes de violence, affirme-t-il. On m'a confondu avec quelqu'un d'autre."

"MANUEL DU MANIFESTANT"

Deux étudiants qui étaient avec lui place de la République en ont dit autant. Les débats ont alors tourné autour de ses vêtements. Le policier blessé affirme qu'il portait un tee-shirt noir et qu'il a été interpellé en polo marin rayé. " Il s'est changé", expliquent les policiers, suivant à la lettre le Manuel du manifestant versé au dossier. Avait-il des gants blancs, comme l'affirme un commissaire qui dit avoir été traité de tous les noms par le jeune homme un peu plus tôt ? "Absolument pas", a répondu le prévenu. Mais l'un de ses amis est venu semer le doute : "Ahmed appartenait au service médical de la manif, nous avons des gants de latex blancs pour intervenir sur des plaies..." Face au procureur qui a réclamé huit mois d'emprisonnement, Me Massiot a insisté sur "les discordances entre les témoignages policiers" pour plaider la relaxe. "On essaie de vous convaincre que c'est un sauvageon, s'est-il indigné. Mais vous vous trompez de lascar !"

Le tribunal ne l'a pas cru. Outre la peine d'emprisonnement, il a condamné le jeune Parisien à payer 457 euros pour l'expertise médicale de la victime, 380 euros pour les frais de procédure et 350 euros de dommages-intérêts au commissaire outragé. Pendant ce temps, 50 à 60 sympathisants des No Border manifestaient dans le calme devant le palais de justice, réclamant la libération d'Ahmed. Ils ont annoncé qu'un autre jeune homme avait été blessé par un flash-ball lors de la même manifestation et avait l'intention de porter plainte.

Jacques Fortier


'''Palestina'''

Pacifistas israelíes demandan a un jefe militar por crímenes de guerra

 

 

AFP | Jerusalén

El movimiento pacifista israelí Goush Shalom ha interpuesto una demanda contra el jefe de las Fuerzas Armadas israelíes, genral Dan Haloutz, ante la justicia militar por el bombardeo sobre la ciudad de Gaza del pasado 22 de julio, según informó ayer la organización pacifista. Aquel ataque ocasionó la muerte de un jefe de Hamás y de otras 16 personas, nueve niños entre ellas.

'Interpusimos el miércoles la demanda contra el general Haloutz, contra el jefe de la escuadrilla y contra el piloto del avión' que lanzó una bomba de una tonelada contra un inmueble civil, indicó Uri Avnery, ex diputado y director de Goush Shalom (Bloque de paz en hebreo). Goush Shalom defiende la retirada del Ejército israelí de todos los territorios ocupados.

'Les consideramos sospechosos de haber cometido un crimen de guerra y les acusamos de haber obedecido órdenes ilegales', añadió Avnery. También recordó que la ley israelí prohíbe a los militares ejecutar 'órdenes ilegales' de sus superiores y que impliquen matanzas contra civiles. Avnery aseguró que si la justicia israelí no 'hacía sus deberes', recurrirán a otras instancias, en alusión a la Corte Penal Internacional.

Por su parte, el general Haloutz consideró ayer, en una entrevista publicada por el diario israelí Haaretz, que el ataque a Gaza estaba totalmente justificado y pidió que los pacifistas de Goush Shalom fueran 'juzgados por traición'. 'Rechazo cualquier crítica contra la operación. Es lamentable que murieran niños inocentes, pero aquellos que van a asesinar niños israelíes deben saber que sus menores cercanos también pueden morir', agregó el general.

El Ejército israelí y los servicios de seguridad admitieron tras el bombardeo a Gaza que hubo 'deficiencias' en los preparativos del ataque. La comunidad internacional, y en particular Estados Unidos, condenó la muerte de civiles a causa del bombardeo. Incluso el presidente norteamericano, George W. Bush, acusó al primer ministro israelí, Ariel Sharon, de obstaculizar el proceso de paz.
 


 

buongiorno! apertura ore 9.00 di cristina e paola. postate notizie...grazie. un bacio a tutte/i.

gr ore 10.00

DAL MONDO

Sudafrica - NASCE IN SUDAFRICA MOVIMENTO PANAFRICANO PER L’ACCESSO ALLE CURE CONTRO L’AIDS Attivisti di una ventina di Paesi e rappresentanti di numerose Ong sono riuniti in Sudafrica per dare vita al movimento panafricano per l’accesso alle cure contro l’Aids. L’incontro è iniziato ieri a Cape Town e si concluderà domani, praticamente alla vigilia del Vertice mondiale sullo sviluppo sostenibile di Johannesburg. L’iniziativa era stata decisa all’inizio del luglio scorso, durante la XIV Conferenza Internazionale sull’Aids tenutasi a Barcellona. In quella sede l’Organizzazione mondiale della sanità (Oms) aveva annunciato l’obiettivo di assicurare gli i medicinali antiretrovirali (Arv) ad almeno 3 milioni di persone entro il 2005. All’incontro di Cape Town prendono parte circa 70 delegati, provenienti da più di 20 Paesi del continente, tra cui Burundi, Repubblica Democratica del Congo, Etiopia, Kenya, Malawi, Nigeria, Ruanda, Uganda, Zambia e Zimbabwe. La riunione si propone di definire un quadro per il movimento panafricano, permettere agli attivisti di condividere informazioni e strategie di comunicazione, creare una voce africana unitaria per l’accesso alle cure, che possa rivolgersi ai governi nazionali, alle istituzioni internazionali e interagire con iniziative quali il Fondo globale per la lotta all’Aids, alla tubercolosi e alla malaria. Al termine verrà inviato un messaggio al vertice di Johannesburg, per chiedere che la questione delle cure non sia dimenticata durante il dibattito sulla salute e lo sviluppo in Africa.

Washington - GUERRA ALL'IRAQ, TRA CITTADINI E POLITICI USA AUMENTANO I CONTRARI Diminuisce l'appoggio dell'opinione pubblica americana al possibile intervento armato contro l'Iraq piu' volte ventilato da Bush. Contrari anche importanti esponenti politici. Il 53% dei cittadini statunitensi si dichiarano favorevoli a un nuovo attacco, a fronte del 61% in giugno. Non piu' di quattro interpellati su dieci sono d'accordo sull'ipotesi di un eventuale invio di truppe Usa nel Paese arabo per almeno un anno; e addirittura ritengono che l'operazione vada condotta comunque, anche senza il sostegno degli alleati, appena due su dieci. Netta la maggioranza di coloro i quali sottolineano la necessita', in ogni caso, che prima di agire Bush si consulti con gli alleati medesimi e senta il parere del Congresso. Dubbi sull'opportunita' della campagna militare continuano a venire anche dagli ambienti politici. Poco convinti si dimostrano in particolare gli ex segretari di Stato: Henry Kissinger non ha mai nascosto la sue perplessita', mentre Lawrence Eagleburger, che guido' il Dipartimento di Stato nell'ultima fase alla Presidenza di George Bush Senior ha affermato: "Non sono per nulla convinto si tratti di qualcosa che dobbiamo fare proprio adesso". Decisamente contraria la Albright, che l'incarico ricopri' con Bill Clinton, e che nei confronti di Saddam Hussein ha sempre ostentato una durezza forse ineguagliata. "L'Iraq non costituisce una minaccia diretta per gli Stati Uniti". anche dalla Germania viene espressa piena contrarietà ad un attacco all'Iraq. Ormai non passa giorno che la Germania non ribadisca la sua contrarieta' ad una guerra contro l'Iraq: dopo il cancelliere Schroeder e il ministro degli esteri Fischer, interviene anche il ministro della difesa Peter Struck, che in una intervista sulla "Westphaelischer Anzeiger" dice senza mezzi termini che "non consentiro' che un solo soldato tedesco sia coinvolto in questa avventura, anche se qualcuno a Washington dovesse digrignare i denti". "Noi non siamo la guardia degli Stati Uniti", ha aggiunto.

Argentina - La Corte suprema argentina ha ieri dichiarato incostutuzionale la riduzione del 13 per cento dei salari dei dipendenti pubblici e delle pensioni decisa nel luglio 2001 per contenere il deficit di bilancio. La decisione della Corte ha carattere retroattivo e si applichera' a tutti gli statali, in servizio o pensionati, che otterranno una sentenza favorevole di un tribunale. La riduzione salariale era stata decisa da Domingo Cavallo, ministro dell'economia dell'allora presidente Fernando de la Rua. Sia Cavallo sia de la Rua lo scorso dicembre si sono dimessi dopo proteste di piazza che fecero oltre 30 morti. La sentenza, secondo le prime stime, comportera' un esborso di 2,2 miliardi di pesos (612 miliardi di dollari) per il solo 2002.

Brasile - The government of Brazil has announced the creation of the largest tropical forest reserve in the world.

We are ensuring the protection of one of the most pristine forests remaining in the world

President Fernando Henrique Cardoso

The Tumucumaque National Park, in the northern Amazonian state of Amapa, will cover 9,562,770 acres (3,870,000 hectares) - an area the size of Switzerland or Taiwan.

The reserve is thought to contain many unidentified plants and unique animal species. But observers say that with a corruption scandal involving Brazil's development agency for the Amazon fresh in people's minds, there is a degree of scepticism towards the project. The park is set in a virtually uninhabited region, where there are no roads. It is an area of waterfalls and impassable rivers, with granite outcrops rising up above the forest. The region is home to a large number of primates and other mammals such as sloths, jaguars, freshwater turtles and the harpy eagle. Scientists suspect it also contains many species still to be identified. "Since Tumucumaque is one of the greatest unexplored places on Earth, we can only imagine what undiscovered mysteries will one day be found in the park," said Russell Mittermeier, President of the organisation Conservation International. "With the creation of Tumucumaque Mountains National Park, we are ensuring the protection of one of the most pristine forests remaining in the world," Brazilian President Fernando Henrique Cardoso said. "Plants and animals that may be endangered elsewhere will continue to thrive in our forests forever." Scandals But for this to be true, the BBC's Tom Gibb in Sao Paulo says the park will need considerably more resources than those invested in Brazil's other national parks. Although protected by law, these are in practice plagued by illegal loggers, miners and animal collectors. The government environment agency, which has the job of protecting the parks, is desperately underfunded. Its staff receive tiny wages and often do not even have basic transport. The agency is in the process of being reorganised, after repeated allegations of corruption against some of its officials. International funding The new park is being created with the participation of the World Wildlife Fund and other environmental protection groups. About 15 percent of Brazil's rainforest is already destroyed It is hoped it will receive money from institutions like the World Bank. President Fernando Henrique Cardoso - who is due to attend the Johannesburg Earth Summit next week - has pledged to protect 10% of the Amazon rainforest. So far just 1% is under protection. The new park is some 568,000 acres (230,000 hectares) larger than Slonga National Park in the Democratic Republic of Congo - until now the world's largest protected tropical reserve.

Géorgie attaque d'avions russes sur les gorges de Pankissi

Des avions de chasse russes ont attaqué en trois endroits dans la région géorgienne des gorges de Pankissi, a indiqué vendredi le service des garde-frontières géorgiens en citant des témoignages d'habitants. Les appareils, dont le nombre exact n'a pas été précisé, ont pénétré dans l'espace aérien de la Géorgie vers 04H15 GMT et ont attaqué la zone de Kakhétinsk dans les gorges de Pankissi. Le ministère russe de la Défense a démenti cette information. "Les forces aériennes russes n'ont pas effectué de vol dans la région de la frontière russo-géorgienne vendredi matin", a déclaré le chef du service de presse, le colonel Alexandre Drobichevski, cité par l'agence Interfax. Le président géorgien Edouard Chevardnadzé a exprimé son indignation après cet incident. "Si les choses continuent de cette façon, la Géorgie devra utiliser toutes les méthodes possibles pour mettre un terme à ces bombardements", a-t-il déclaré. La Russie affirme que les gorges de Pankissi, proches de la frontière tchétchène, abritent quelques centaines de rebelles tchétchènes, et que la Géorgie tolère leurs activités et les laisse traverser la frontière dans les deux sens. Des responsables géorgiens ont été dépêchés sur place pour vérifier les informations des habitants de Kakhétinsk. La Géorgie a accusé la Russie d'avoir violé son espace aérien à cinq reprises au cours des dernières semaines. Moscou a toujours démenti ces accusations mais au moins une attaque a été confirmée par des observateurs de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE). Le service de presse des garde-frontières russes pour le Caucase du Nord a aussi démenti toute violation de l'espace aérien géorgien. Le système d'observation des garde-frontières n'a pas détecté de survol de la frontière russo-géorgienne par un quelconque appareil", selon ce service. Incapable de mettre un terme aux opérations des indépendantistes en Tchétchénie, la Russie a récemment multiplié ses critiques à l'égard de la Géorgie, qu'elle accuse de servir de base arrière aux rebelles.

Francia

Un militant antimondialisation condamné à trois mois de prison ferme à Strasbourg Accusé d'avoir blessé un policier lors d'une manifestation fin juillet, Ahmed Meghini, membre du collectif No Borde, affirme qu'on l'a confondu avec un autre participant au défilé. Strasbourg de notre correspondant

Qui est Ahmed Meghini, 25 ans, l'un des manifestants du collectif antimondialisation No Border, le 24 juillet à Strasbourg ? Est-ce le "casseur et le lâche" que décrit Me Cédric Lutz-Sorg, conseil d'un policier strasbourgeois blessé ce jour-là ? Est-ce "un militant non violent qui se bat pour ses idées", comme l'affirme Me Frédéric Massiot, défenseur du jeune homme ? Le tribunal correctionnel de Strasbourg a tranché mercredi 21 août : c'est bien le jeune Parisien qui a frappé un capitaine de police avec un pieu de bois et a lancé un peu plus tôt des noms d'oiseaux à un commissaire.

Mis en examen pour "violences aggravées et outrages contre une personne dépositaire de l'autorité publique", il a été condamné à huit mois d'emprisonnement dont trois ferme.

Près de 2 000 personnes s'étaient retrouvées à Strasbourg fin juillet pour plaider "pour la liberté de circulation et d'installation en Europe et contre les dispositifs sécuritaires". La capitale alsacienne est en effet le siège du centre informatique né des accords de Schengen. Pendant une dizaine de jours, les No Border avaient enchaîné au centre-ville cortèges, théâtre de rue et concerts de tambour. Le 24 juillet, entre 500 et 700 personnes ont commencé à défilé sous haute surveillance – l'avant-veille, il y avait eu de la casse dans la ville. Au fil de la manifestation, des bâtiments publics ont été taggués. Quand un groupe a voulu s'en prendre au monument aux morts, place de la République, la police s'est interposée. "On a eu alors l'ordre d'interpeller les fauteurs de troubles", explique le policier blessé, venu à l'audience le bras en écharpe. "Ils nous ont lancé des projectiles, des bouteilles, des pierres, même une fusée d'artifice." Le policier est formel : deux manifestants l'ont frappé avec des pieux arrachés dans un parc. "J'ai pu me protéger du premier coup avec mon tonfa [bâton de défense], mais il a volé en l'air et le second coup m'a fracturé la main. Sous le choc, l'individu a lâché son bâton avant de se fondre dans la foule."

L'individu, le capitaine de police en est sûr, c'est Ahmed Meghini. Lui et l'un de ses collègues l'ont reconnu. Les policiers se sont dégagés avec des grenades lacrymogènes et le signalement du jeune manifestant a été diffusé. Il a été interpellé un peu plus tard dans la manifestation, comme une vingtaine d'autres personnes. Seul écroué, il a été présenté en comparution immédiate le surlendemain au tribunal de Strasbourg et a obtenu le renvoi du procès, mais sa demande de mise en liberté a été rejetée : sans domicile, il n'offrait pas de garanties de représentation. Ahmed Meghini a ensuite été mis à l'isolement à la maison d'arrêt de Strasbourg, "soi-disant pour ne pas influencer les autres détenus par ses idées", s'indigne son avocat.

Devant le tribunal, le jeune homme n'a pas nié son engagement. "J'ai un idéal de justice", a-t-il expliqué, souriant à la petite poignée de ses amis que les forces de l'ordre ont laissés entrer dans la salle. D'ailleurs, alors que d'autres manifestants étaient encagoulés, lui ne l'était pas : "Je n'ai jamais voulu me masquer, j'assume mes idées." Cofondateur du Mouvement spontané des citoyens dans la rue créé entre les deux tours de la présidentielle, il a un peu de "métier", a organisé plusieurs manifestations parisiennes et en a même souvent demandé l'autorisation. "Mais je n'ai pas commis ces actes de violence, affirme-t-il. On m'a confondu avec quelqu'un d'autre."

"MANUEL DU MANIFESTANT"

Deux étudiants qui étaient avec lui place de la République en ont dit autant. Les débats ont alors tourné autour de ses vêtements. Le policier blessé affirme qu'il portait un tee-shirt noir et qu'il a été interpellé en polo marin rayé. " Il s'est changé", expliquent les policiers, suivant à la lettre le Manuel du manifestant versé au dossier. Avait-il des gants blancs, comme l'affirme un commissaire qui dit avoir été traité de tous les noms par le jeune homme un peu plus tôt ? "Absolument pas", a répondu le prévenu. Mais l'un de ses amis est venu semer le doute : "Ahmed appartenait au service médical de la manif, nous avons des gants de latex blancs pour intervenir sur des plaies..." Face au procureur qui a réclamé huit mois d'emprisonnement, Me Massiot a insisté sur "les discordances entre les témoignages policiers" pour plaider la relaxe. "On essaie de vous convaincre que c'est un sauvageon, s'est-il indigné. Mais vous vous trompez de lascar !"

Le tribunal ne l'a pas cru. Outre la peine d'emprisonnement, il a condamné le jeune Parisien à payer 457 euros pour l'expertise médicale de la victime, 380 euros pour les frais de procédure et 350 euros de dommages-intérêts au commissaire outragé. Pendant ce temps, 50 à 60 sympathisants des No Border manifestaient dans le calme devant le palais de justice, réclamant la libération d'Ahmed. Ils ont annoncé qu'un autre jeune homme avait été blessé par un flash-ball lors de la même manifestation et avait l'intention de porter plainte.

Jacques Fortier

Palestina

Pacifistas israelíes demandan a un jefe militar por crímenes de guerra

AFP | Jerusalén

El movimiento pacifista israelí Goush Shalom ha interpuesto una demanda contra el jefe de las Fuerzas Armadas israelíes, genral Dan Haloutz, ante la justicia militar por el bombardeo sobre la ciudad de Gaza del pasado 22 de julio, según informó ayer la organización pacifista. Aquel ataque ocasionó la muerte de un jefe de Hamás y de otras 16 personas, nueve niños entre ellas.

'Interpusimos el miércoles la demanda contra el general Haloutz, contra el jefe de la escuadrilla y contra el piloto del avión' que lanzó una bomba de una tonelada contra un inmueble civil, indicó Uri Avnery, ex diputado y director de Goush Shalom (Bloque de paz en hebreo). Goush Shalom defiende la retirada del Ejército israelí de todos los territorios ocupados.

'Les consideramos sospechosos de haber cometido un crimen de guerra y les acusamos de haber obedecido órdenes ilegales', añadió Avnery. También recordó que la ley israelí prohíbe a los militares ejecutar 'órdenes ilegales' de sus superiores y que impliquen matanzas contra civiles. Avnery aseguró que si la justicia israelí no 'hacía sus deberes', recurrirán a otras instancias, en alusión a la Corte Penal Internacional.

Por su parte, el general Haloutz consideró ayer, en una entrevista publicada por el diario israelí Haaretz, que el ataque a Gaza estaba totalmente justificado y pidió que los pacifistas de Goush Shalom fueran 'juzgados por traición'. 'Rechazo cualquier crítica contra la operación. Es lamentable que murieran niños inocentes, pero aquellos que van a asesinar niños israelíes deben saber que sus menores cercanos también pueden morir', agregó el general.

El Ejército israelí y los servicios de seguridad admitieron tras el bombardeo a Gaza que hubo 'deficiencias' en los preparativos del ataque. La comunidad internacional, y en particular Estados Unidos, condenó la muerte de civiles a causa del bombardeo. Incluso el presidente norteamericano, George W. Bush, acusó al primer ministro israelí, Ariel Sharon, de obstaculizar el proceso de paz.

DALL'ITALIA

Treviso - Ieri l'ater con il sostegno della giunta leghista è riuscita ad ottenere lo sgombero preannunciato da tempo. 58 persone senza una casa, tra cui 18 bambini. Le forze dell'ordine si sono presentate in massa con il supporto di vigili del fuoco e ambulanze questa mattina, sequestrando tutte le proprietà degli occupanti e sbattendoli letteralmente fuori di casa. Dalle 18.00 di ieri pomeriggio insieme al comitatoM21 di treviso gli sgomberati hanno occupato il duomo, dove hanno trascorso la notte.

gror230802 (last edited 2008-06-26 09:59:34 by anonymous)